Le jour se lève en cette fraîche matinée de Mai où l’air de notre chambre est parcouru du doux parfum sucré, l’embrun d’une nuit de jeux.
Me voici levé, majestueux comme toujours, après une enchanteresse nuit.
Ma femme se lève enfin à 9heures, nue et les cheveux ébouriffés, les joues rougies par le Vendredi soir torride
que nous venions de partager.
Elle cherche à tâtons sous le lit sa culotte blanche, la retrouve, l’enfile délicatement sur ses fesses rebondies, puis me fixe un instant.
Ses lèvres esquissent un sourire malicieux derrière ses cheveux désordonnés.
Elle se dirige légèrement vers moi pour me prendre d’une main gracieuse et m’emmener dans la salle de bain.
Au savon, elle mastique de ses fins doigts de toutes parts. Me voici bientôt nettoyé, lorsque ses doigts de fée, mouillés de savon, se glissent somptueusement depuis le lavabo le long de son aine, descendant vers son bas ventre, trempant sa culotte blanche, sy introduisant.
Derrière le tissu, ses doigts visitent le long de sa vulve, la parcourt délicatement de tout son long et linduisant de savon.
C’est une habitude matinale à laquelle ma femme ne déroge que peu, mais d’habitude pratiquée sous la douche et quelques fois en ma compagnie, vibrant au gré de ses désirs.
Le volupté de cette caresse la fait haleter et son souffle devient plus rapide.
En haut, de petits gémissements séchappent de ses lèvres. Elle baisse à demi sa culotte trempée sur ses cuisses et commence à balancer ses hanches sur ses doigts humides et habiles. De son autre main, elle caresse adroitement sa poitrine, d’abord en effleurant ses aréoles de quelques doigts, puis ses tétons rigides, faisant glisser la paume de sa main en suivant cette merveilleuse courbe puis en l’appuyant plus fermement.
Ses gémissements retentissent dans la salle de bain, et entendre son écho semble lui rendre d’avantage exquis ce moment de plaisir,
Ciel ! Ma déesse sadonne au plaisir solitaire en me laissant spectateur, moi, son plus fidèle compagnon, qui jamais ne la laissé sur sa faim, qui toujours la comblée selon ses désirs, qui la connaît dans toute son intimité. La malice de sa langue et l’humidité de ses lèvres, les profondeurs de son sexe, les recoins de son clitoris, les secrets de ses séantes et même les lignes de ses pieds
Alors que ces pensées traversaient mon esprit de vibromasseur et que je vois grandir la rougeur sur sa gorge, ma déesse interrompt ses caresses intimes, mais son regard rempli de désir en demande encore plus.
Je me réjouis à cette idée: Serait-ce enfin mon tour?
Mais les yeux de ma déesse se tournent en direction d’un collègue fait de deux boules de Geisha roses, que je n’avais encore jamais vu.
Elle s’en empare avec empressement, se repositionne devant le lavabo, écarte légèrement ses divines cuisses et introduit les deux valseuses dans son vagin élargit par l’excitation et pleurant qu’on le comble, avant de rejoindre le septième ciel. Ainsi fût il comblé.
Ma déesse jouait de son propre plaisir devant moi, elle gémissait et soufflait avec force, frottait son bouton sacré en transpirant, agitait ses hanches sur sa main, sentait le plaisir monter, monter, et monter.
Au summum de son excitation, lorsque l’orgasme se faisait sentir, elle saisit la ficelle des deux boules et les retira d’un seul coup!
Sa voix s’élevait, ma déesse rejoignit longuement les cieux, puis elle continuait d’activer ses mains autour de sa vulve plus lentement, puis plus rapidement, puis réintroduisait les boules pour se les extraire avec passion et volupté,,,
Je ne pouvais en supporter d’avantage… c’en était trop!
Je fis mes adieux à ce monde cruel avant de me laisser rouler du bord du lavabo pour chuter avec vertige sur le sol
Puis attendre la mort.
~Fin~
(Aucun Sextoy na été maltraité durant la rédaction de ce texte.)
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